FREDERICTON (GNB) – La déclaration suivante a été émise, aujourd’hui, par le sous-ministre de la Justice et de la Sécurité publique, Michael Comeau. Elle fait suite à un cas soumis à la Commission des droits de la personne du Nouveau-Brunswick par un membre du personnel. Aucun autre commentaire ne sera formulé à cet égard.

Le ministère de la Justice et de la Sécurité publique du gouvernement du Nouveau-Brunswick fournit une gamme de services essentiels à la population de la province. Les employés du ministère de la Justice et de la Sécurité publique travaillent à titre d’agents des Services correctionnels, de membres des Services des shérifs et occupent d’autres postes essentiels. Ils contribuent à faire de la province un endroit sûr, et ils mettent souvent leur propre sécurité en jeu pour y arriver. Le ministère de la Justice et de la Sécurité publique est résolu à optimiser la sécurité et le bien-être de l’ensemble de ses employés.

Le ministère de la Justice et de la Sécurité publique tient à ce que les choses soient claires sur ce point : tous les employés ont droit à un traitement juste et équitable, peu importe leur âge, genre, identité de genre, race, religion ou toute autre caractéristique personnelle. La diversité doit être valorisée et célébrée dans notre province, et aucun comportement discriminatoire ne sera toléré.

À la lumière des événements qui ont été portés à son attention, le ministère de la Justice et de la Sécurité publique a décidé de renouveler son engagement portant sur le traitement juste et équitable de tous ses employés. Au cours des prochains mois, le ministère de la Justice et de la Sécurité publique collaborera avec la Commission des droits de la personne pour fournir des activités de formation qui porteront sur l’obligation de traiter tous les membres du personnel du ministère de la Justice et de la Sécurité publique de manière juste et respectueuse. Nous mettrons tout en œuvre pour veiller à ce que tous les membres courageux du ministère de la Justice et de la Sécurité publique, sans égard à leurs caractéristiques personnelles, soient traités avec le respect et la dignité qui leur revient.